Lundi semble être une journée calme à Delhi, ce qui nous permet d’adoucir le choc de notre arrivée. D’autant plus que le décalage horaire se fait sentir et que j’ai passé une partie de la nuit à écouter les ronflements de nos deux voisins afghans. D’après le guide, nous serions dans un quartier mal famé. Pourtant, nous sommes bien contents de notre petit hôtel sur Main Bazar où tout se trouve à proximité dont le quartier formidablement animé et pittoresque de Old Delhi, situé juste de l’autre côté de la gare ferroviaire.
C’est donc dans un calme relatif que nous allons faire une première petite balade. Karine et moi n’en revenons toujours pas d’être ici, fascinées par tout ce que nous voyons dans ce pays qui ne laisse personne indifférent. L’étonnement ne nous quitte pas. François qui en est à son deuxième séjour en Inde nous observe et s’amuse de nos réactions. Il craint que nous n’aimions pas, mais c’est plutôt l’inverse qui est en train de se produire.
J’ai l’impression de ne pas avoir assez de mes deux yeux, mes deux oreilles et de mon nez pour tout capter ce qui s’offre à nous depuis notre arrivée dans ce pays où même les divinités sont nombreuses. Ça grouille à ce point que je n’ai jamais remarqué un seul bâtiment dans mes trois jours à Delhi. Le spectacle humain (et animalier) est continuel.
Les gens nous sourient et acceptent de se faire photographier sans peine, même que certains le demandent.
Les étals des marchands sont joliment aménagés. On voit qu’ils sont fiers de leurs produits. Tout est frais.
Nous n’aurons pas eu besoin de bouger beaucoup à Delhi, car tout bougeait déjà autour de nous. Nous avons pris ces trois jours pour devenir des habitués d'un excellent resto et de discuter de l’itinéraire des prochaines semaines. Nous étions dans une sorte de vague depuis notre départ. Tout ce que nous savions était que nous partions pour la partie nord du pays.
C’est donc dans un calme relatif que nous allons faire une première petite balade. Karine et moi n’en revenons toujours pas d’être ici, fascinées par tout ce que nous voyons dans ce pays qui ne laisse personne indifférent. L’étonnement ne nous quitte pas. François qui en est à son deuxième séjour en Inde nous observe et s’amuse de nos réactions. Il craint que nous n’aimions pas, mais c’est plutôt l’inverse qui est en train de se produire.
J’ai l’impression de ne pas avoir assez de mes deux yeux, mes deux oreilles et de mon nez pour tout capter ce qui s’offre à nous depuis notre arrivée dans ce pays où même les divinités sont nombreuses. Ça grouille à ce point que je n’ai jamais remarqué un seul bâtiment dans mes trois jours à Delhi. Le spectacle humain (et animalier) est continuel.
Les gens nous sourient et acceptent de se faire photographier sans peine, même que certains le demandent.
Les étals des marchands sont joliment aménagés. On voit qu’ils sont fiers de leurs produits. Tout est frais.
Nous n’aurons pas eu besoin de bouger beaucoup à Delhi, car tout bougeait déjà autour de nous. Nous avons pris ces trois jours pour devenir des habitués d'un excellent resto et de discuter de l’itinéraire des prochaines semaines. Nous étions dans une sorte de vague depuis notre départ. Tout ce que nous savions était que nous partions pour la partie nord du pays.







Superbe photo François, je suis émerveiller ;-)
RépondreSupprimerEt les photos de la gare me rappel des souvenirs, nous y sommes passer non loin de la ... et aussi le bazar tout près.
Profiter en on vous suit avec intérêt ;-)
John
Superbe portrait du barbue à une dent! =:o)
RépondreSupprimerChristine est chez Doris et on se permet un petit moment pour partager un bout de votre voyage.
RépondreSupprimerComment est l'odeur dans ces rues????
Maurice et Louis jasent au salon
L'odeur dans ces rues... comment dire... un mélange des plus beaux arômes d'épices juxtaposé avec des odeurs d'urine forte, de matières fécales et de pollution intense causé par les moteurs deux temps. Je crois que ça résume bien :-)
RépondreSupprimerBonne journée Doris!