Juste à côté de l’entrée du cimetière, trois hommes travaillent dans une cour semi-couverte. L’emballeur me fait signe de venir.
Dès que j’arrive près de lui, il m’offre une sorte de brioche.
Dès que j’arrive près de lui, il m’offre une sorte de brioche.
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| Les pâtissiers ont bien rigolé en me regardant photographier le vélo et les restes du fauteuil du patron qui se trouvent dans l’entrée. |
Et elle était bonne cette brioche?
RépondreSupprimerJe viens de passer un excellent moment en votre compagnie ce matin mais comme les autres j'attend la suite de / celle dont il ne faut pas dire le nom /avec impatience.
J'ai la chienne de vous lire, je ne suis pas prête à vous suivre autrement que virtuellement.
Gros câlins pour vous trois. xxx
(Anne même si je ne connais pas Karine, tu en lui feras un de ma part. ;-) )
Question mystère: Est-ce que le proprio des sandale est disparu em même temps que le siège du fauteuil?
RépondreSupprimerJ'imagine une soucoupe volante qui arrive au dessus du gars avec un rayon qui sort d'en dessous de la soucoupe pour désintégré le gars assi ainsi que ce qui ést en contacte avec sa peau.
Vengance contre une brioche pas au gout de l'extraterrestre! =:o)
On dirait qu'une fine couche de farine recouvre tout ce qui se trouve dans les environs, je me trompe ??! Dire qu'ici, quand on travaille en cuisine, on en vient à développer une quasi névrose (mot très apprécié de mon amie Anne) pour l'ergonomie !
RépondreSupprimerJ'adore vos photos de bouffe, marchés, cuisines, pâtissiers. J'en veux d'autres !